Une photo noir et blanc de Markéta Demlová sous un arbre

Je ne suis pas une simple traductrice, je suis une véritable conteuse. Je raconte l’histoire de votre marque.

Ma propre histoire a commencé par un conte de fées

Quand j’étais petite, nous avions un grand livre de contes de fées magnifiquement illustré que notre père nous lisait avant de dormir. Les contes étaient écrits en anglais, aussi devait-il nous les traduire en tchèque sur place. Ma sœur et moi riions toujours quand il lisait, et ces lectures de contes de fées anglais/tchèques figurent parmi mes souvenirs d’enfance les plus précieux.

Apprendre des langues derrière le rideau de fer ?

Apprendre des langues étrangères tout en vivant dans un pays où vous n’êtes pas libre de voyager… Cela peut sembler vain, mais j’ai tout de même étudié l’anglais et le français dans l’espoir qu’un jour, je puisse utiliser mes connaissances pour faire plus que chanter les chansons des Beatles et de Brel. Lorsque le rideau de fer est tombé quelques mois avant la fin de mes études secondaires, j’ai su que les langues étrangères deviendraient plus qu’un simple passe-temps.

D’ auditrice de contes de fées à traductrice de contes de fées

Quelques années plus tard, j’ai obtenu mon diplôme universitaire et je me suis retrouvée à la maison avec deux jeunes fils. Je me suis souvenu du vieux livre de contes de fées de mon père et j’ai décidé de traduire ces histoires merveilleuses pour mes garçons. Quand mon père l’a appris, il a proposé de montrer mes traductions à une amie éditrice. Elle les a aimées et m’a proposé de travailler avec elle. C’est ainsi que le livre de mon enfance m’a conduit à une carrière de traductrice.

Des contes de fées aux histoires de marque

Depuis, je raconte des histoires à d’autres personnes que mes enfants. Au début, il s’agissait surtout de fictions — romantiques, divertissantes, passionnantes… Puis je suis passée de la littérature au marketing et j’ai découvert les histoires de marques. Et je les ai trouvées tout aussi divertissantes, passionnantes et fascinantes.

Une photo noir et blanc de Markéta Demlová avec les bras croisés

Mes traductions ont amené ces marques vers un tout nouveau public. Je veux que mes compatriotes entendent ces histoires. Parce qu’ils se souviennent d’une époque où les noms de marque évoquaient un monde libre, un monde auquel ils n’avaient pas accès — une époque où posséder un objet de marque (qu’il s’agisse de chaussures Nike, d’un jeans Levi’s ou de cacao Nestlé) n’était qu’un rêve.

Quand les rêves deviennent réalité

J’aime quand les rêves se réalisent. Maintenant que nous avons accès à toutes les marques que nous voulons, je suis heureuse de pouvoir présenter à mes compatriotes tchèques des histoires de marques et de pouvoir les aider à trouver celles qui leur parlent. J’enseigne le tchèque aux marques anglophones et francophones afin qu’elles puissent conquérir le cœur des clients tchèques, qui n’attendent que cela.

Une aventure fascinante, un voyage passionnant… et tout a commencé par un conte de fées.

Pourquoi est-ce que je traduis ? Parce que les langues sont mon destin, mon véritable amour.

L’anglais fait partie de ma vie depuis toujours.

La première phrase que j’ai entendue en anglais était : « Catch the ball ! » (« Attrape la balle »). J’avais 2 ans et c’est mon père qui parlait — un anglophile passionné. Il est tout simplement imbattable au Scrabble, alors n’essayez même pas, et il connaît un nombre impressionnant de synonymes pour le mot « bière ». Je n’avais aucune chance d’éviter ses leçons d’anglais : toute résistance était futile, son enthousiasme était contagieux. L’anglais était mon destin.

À 15 ans, je suis tombée amoureuse. De François Villon et du français. Et plus tard, de la France elle-même et de tout le peuple français. De Paris, de la mode, des parfums, des croissants et des macarons. Du vin. De l’art de vivre français, unique en son genre. C’est devenu l’amour de toute une vie.

Je veux transmettre cet amour à ceux de mon pays natal, parce qu’ils sont incroyables. Je veux qu’ils sachent que vous êtes incroyables, vous aussi, et que vous avez quelque chose à leur offrir. Je veux qu’ils utilisent vos produits et services et qu’ils en tirent du plaisir. Je veux que vous vous compreniez les uns les autres. Parce que tel est le rôle du traducteur : aider les personnes de cultures différentes, qui parlent des langues différentes, à communiquer et à trouver un terrain d’entente.

Je serais honorée d’être votre guide pour ce long voyage.

Une photo noir et blanc de Markéta Demlová assise dans un fauteuil blanc

Pourquoi est-ce que je traduis ? Parce que les langues sont mon destin, mon véritable amour.

L’anglais fait partie de ma vie depuis toujours.

La première phrase que j’ai entendue en anglais était : « Catch the ball ! » (« Attrape la balle »). J’avais 2 ans et c’est mon père qui parlait — un anglophile passionné. Il est tout simplement imbattable au Scrabble, alors n’essayez même pas, et il connaît un nombre impressionnant de synonymes pour le mot « bière ». Je n’avais aucune chance d’éviter ses leçons d’anglais : toute résistance était futile, son enthousiasme était contagieux. L’anglais était mon destin.

À 15 ans, je suis tombée amoureuse. De François Villon et du français. Et plus tard, de la France elle-même et de tout le peuple français. De Paris, de la mode, des parfums, des croissants et des macarons. Du vin. De l’art de vivre français, unique en son genre. C’est devenu l’amour de toute une vie.

Je veux transmettre cet amour à ceux de mon pays natal, parce qu’ils sont incroyables. Je veux qu’ils sachent que vous êtes incroyables, vous aussi, et que vous avez quelque chose à leur offrir. Je veux qu’ils utilisent vos produits et services et qu’ils en tirent du plaisir. Je veux que vous vous compreniez les uns les autres. Parce que tel est le rôle du traducteur : aider les personnes de cultures différentes, qui parlent des langues différentes, à communiquer et à trouver un terrain d’entente.

Je serais honorée d’être votre guide pour ce long voyage.